Innocuité

innocuité

« Assimilez les leçons de l’innocuité : que ni par la parole, ni par la pensée, ni par le sentiment vous n’infligerez de tort à un être vivant, ni ne lui ferez de mal. Sachez que la brutalité ou la violence physique vous maintiendront dans la sphère de la douleur, de la souffrance et de la mortalité.

Faites attention à ne pas bousculer, de manière irréfléchie ou délibérée, les émotions d’un frère ou d’une sœur. Sachez que le tumulte qui agitera cet esprit reviendra bientôt sur les rives de votre propre continuum vital. Tentez plutôt de toujours apporter la tranquillité, l’amour et la paix à toute forme de vie.

… Dissociez-vous des illusions planétaires et personnelles. … Évoluez paisiblement sur Terre et dans l’univers, sachant que le corps est un temple sacré… Veillez à respecter ce temple et à conserver sa pureté. C’est là où réside l’Esprit d’amour et de vérité. Respectez et honorez avec dignité les autres temples, conscient du fait que sous une apparence parfois rude se consume une grande lumière.

Lorsque vous êtes dans la nature, observez sa beauté et ouvrez votre être aux dons des divers royaumes. Plus que tout, ressentez de la gratitude envers la nature. Ne la souillez pas avec des pensées viles, des sons discordants, des émotions malsaines, ou par des actes physiques qui ternissent sa beauté virginale… Honorez la Terre, la mère qui porte votre voie évolutive. » (Paul le Vénitien, Telos tome III, Aurélia Louise Jones, Éditions Ariane)

« Vous êtes des créateurs, pour les êtres qui vivent sur les mondes que vous formez, par les sons que vous émettez… Soyez simplement conscients que vos mots ne sont pas simplement des mots et qu’ils ne touchent pas seulement des êtres extérieurs à vous. » (L’entité-lettre, Et si la vie la vie continuait, Anne Givaudan, Éditions S.O.I.S.)

Pour imager la puissance des mots, je vous invite à regarder la métaphore du papier froissé.

la métaphore du papier froissé