Les muscles de votre corps sont reliés aux organes. Un muscle faible dévoile en conséquence un problème énergétique de l’organe correspondant. Le test musculaire permet d’observer les influences extérieures (vêtement, nourriture, personne, environnement) ou intérieures (pensée, sentiment, acte) sur l’organisme, dans un sens négatif, perturbateur, ou positif, stimulateur.
Le test proposé n’est qu’un petit outil de la vaste panoplie des instruments de kinésiologie, qui est une science à part entière. Il présente l’avantage d’être simple et d’être utilisé en autonomie, sans l’aide d’un tiers. Ne l’employez que rarement, en cas d’indécision gênante, pour ne pas en faire un exercice addictif qui remplacerait votre intuition à privilégier.
Pour ne pas, ou peu, influencer le test, commencez par vous détendre, quitte à précéder l’exercice par une respiration profonde.
Joignez le pouce et l’index de vos deux mains pour former deux « cercles » enchevêtrés, tels les deux maillons d’une chaîne. Tirez légèrement les deux « cercles » dans des directions opposées, en mettant un peu de pression sur les doigts, afin de tester la résistance de la chaîne.
Pensez votre question de manière précise, sans ambiguïté, ne permettant qu’une réponse alternative, par Oui ou par Non. Posez ensuite intérieurement et sincèrement votre question, sans parti pris, sans attente, dans un état de calme, et tirez sur les deux « cercles » dans des directions opposées. Si votre état d’esprit est neutre et votre mental endormi, votre corps décidera.
En cas de réponse négative, un des deux « cercles » de doigts va s’ouvrir et libérer l’autre.
En cas de réponse positive, la force de vos doigts ne permettra pas d’ouvrir les « cercles ».
L’utilisation raisonnée de cet outil vous permettra de constater :
- que le téléphone portable enfoui dans votre poche vous fatigue,
- que le code-barres des étiquettes de vos vêtements vous affaiblit,
- que l’imprimé de votre T-shirt préféré vous stimule ou vous diminue,
- que la boucle de votre ceinture et vos bijoux ne sont pas neutres,
- que les implants dentaires et vos tatouages ne sont pas anodins,
- que votre friandise favorite ne vous aime pas,
- que la visualisation de l’être aimé vous tonifie, de votre belle-mère nettement moins,
- etc.
Que les constats en découlant ne soient que des indications, et surtout pas des obligations. Vous avez le droit de vous faire plaisir avec une friandise que le corps réprouve, avec un vêtement que vous aimez porter.
Attention, l’abus de cet outil est dangereux pour l’intuition et le libre arbitre.