Le temps linéaire se compose du passé, puis du présent, puis du futur. Votre personnalité accepte ce fait comme évident, vécu et acquis.

Pourtant si vous regardez de plus près, le passé est un souvenir, une mémoire colorée par le prisme de votre regard, deux personnes gardant souvent un souvenir différent d’un même événement, le futur est une éventualité, et vous ne vivez que le présent. Le temps linéaire est un concept qui n’existe que parce que vous le considérez réel. « Maintenant n’est pas coincé entre avant et après. Maintenant repose sur l’éternel. » (Message de l’Être du 7 mai 2024, Agnès Bos-Masseron, Accueillir la Conscience Divine)

Vieillir est également un concept que vous croyez naturel et immuable. Conséquence de la loi de résonance, le monde qui vous entoure va s’adapter à ce que vous croyez vrai, et votre corps vieillira.

Pourtant « l’apparence de votre corps physique est déterminée par la quantité de lumière utilisée dans les quatre véhicules inférieurs, les corps mental, émotionnel, éthérique et physique. L’émanation naturelle de la lumière à travers ces corps forme le mur protecteur de votre champ aurique, connu sous le nom de tube de lumière. Quand les électrons se déplacent plus lentement dans leurs propres organes et cellules, ils attirent moins de lumière du corps mental supérieur et la résistance naturelle de l’individu s’affaiblit. Cela provoque ce que vous appelez le « vieillissement ».

Lorsque vous, en tant qu’individu, et le reste de la race humaine apprendrez à demeurer dans l’harmonie en toutes circonstances, et lorsque les énergies libérées par vos différents corps seront toujours dans l’harmonie et la joie, la vieillesse et la maladie n’existeront plus. » (Paul le Vénitien, Les sept flammes sacrées, Aurélia Louise Jones, Éditions Telos France)

Si le temps n’est pas linéaire, qu’est-il ?

« Seul est le temps simultané. » (Message d’El Morya du 10 mars 2024, Agnès Bos-Masseron, Accueillir la Conscience Divine)

Prenez l’exemple d’un sac de billes. Considérez que chaque bille, est un instant de votre « passé », de votre « présent » et de vos « futurs » possibles de votre vie « actuelle ». Considérez que dans ce même sac figurent aussi les billes de chaque instant de vos vies « passées » et « futures » (incarnations), ainsi que celles des autres êtres, humains ou non (minéraux, végétaux, animaux, objets, etc.). Appuyez sur la bille de « Vous » dans ce « Maintenant », dans cet instant présent. Vous voyez toutes les billes bouger et trouver une nouvelle place, plus ou moins éloignée de la précédente, et vous comprenez que vos moindres pensées, sentiments, paroles, choix et actions qui découlent dans cet instant présent, impactent vous-même et tous les autres êtres, dans tous les « temps », que vous êtes en relation avec le Tout intemporel, même si vous ne le percevez pas depuis votre position. Dans cette image le temps est une illusion, les temporalités existent toutes à la fois.

Si le temps est une illusion, les vies antérieures et les réincarnations, supposant un temps linéaire, en sont une autre. Vous vivez toutes vos existences en même temps, votre réalité est intemporelle, sans temps ni espace. Il convient mieux de parler d’incarnations. Votre âme, votre Conscience Divine, votre Présence Je Suis, s’incarne et prend forme dans plusieurs corps, dans plusieurs temps et dans plusieurs espaces, dans la même et unique expérience. Vos apprentissages et vos actions sont à la fois guidées par votre âme et profitent à votre âme. Celle-ci est reliée à toutes les consciences incarnées qui sont ainsi en relation indirecte, parfois directe, les unes avec les autres. Les époques sont choisies en fonction de leur opportunité à vivre un type d’expérience ; par exemple une vie monacale est adaptée au moyen-âge et une vie de confort adaptée à un « futur » à technologie avancée au service de la personne.

La notion de karma, souvent comprise comme le fait que la destinée de votre vie « actuelle » serait la résultante d’actions « passées » dans vos vies antérieures, de dettes à honorer dans un sens positif ou négatif, n’a pas de sens sans notion de temps linéaire. Dans le temps simultané, où Vous, en tant qu’âme, êtes en lien avec plusieurs incarnations, c’est la notion d’équilibre entre les incarnations qui prédomine dans le monde duel. Par exemple, si vous commettez un vol, plusieurs de vos incarnations simultanées feront des dons compensant le vol. Cet équilibre est vrai pour tous types d’énergies et d’émotions, le riche et le pauvre, le génocidaire et le sauveur, le guerrier et l’homme de paix, le gentil et le méchant, l’éveillé et l’endormi, le triste et le joyeux, l’optimiste et le pessimiste, etc. Quand vous pensez karma, pensez loi d’équilibre entre les incarnations.

Au passage vous comprenez alors que les notions de bien et de mal, de séparations, perdent de leur sens, au profit d’expériences duelles.

Vous comprenez également que la réalisation de votre complétude, de l’Unité de votre âme, consiste à percevoir la globalité de vos expériences en tant que consciences individualisées, fractales de votre âme, elle-même fractale du Créateur, de la Source de tout ce qui est, de Dieu. Vous, être divin, êtes la somme de vos existences, quels que soient vos personnages, vos rôles « gentils » et « méchants » dans l’immense pièce de théâtre de la Vie.

Pour y parvenir, pour retourner à la maison, vous devez accéder à votre âme, vous abandonner à l’âme.

Le chemin est long. « S’il vous paraît sage, logique et bon qu’un enfant vienne au monde après son temps exact dans le ventre de sa mère, pourquoi n’acceptez-vous pas que l’âme ait besoin de son heure juste pour se reconnaître et naître à elle-même. » « Toute chose vient en son « temps »… ainsi il est insensé d’imaginer la maturité d’un être avant qu’il n’ait pleinement vécu la multitude des circonstances qui doivent présider sa floraison. » (Jeshua et Daniel Meurois, Les 108 paroles du Christ, Éditions Le Passe-Monde)

Quel est le langage de l’âme ? Il « n’est pas difficile ou complexe en soi ; il vous parle directement.

Il s’agit d’un sentiment de connaissance directe qui correspond à vos désirs les plus profonds. Et c’est précisément cette connexion intérieure profondément ressentie avec l’âme qui vous donne aussi du courage et de la persévérance. En effet, si l’âme vous touche et vous appelle, et qu’elle fait naître dans votre cœur le désir de faire certaines choses ou d’en faire plus, elle vous demande souvent aussi le courage et la persévérance nécessaires pour écouter votre cœur lorsque vous choisissez ce qui peut être contraire aux attentes des autres et lorsque vous faites des choix qui vont à l’encontre des opinions de la société.

Les choix de l’âme sont souvent contraires aux énergies établies depuis longtemps sur la façon dont les choses « devraient être » : les règles, les commandements et les dogmes. L’âme, en plus d’être joyeuse et légère, est donc toujours révolutionnaire ; elle bouleverse les choses et peut donc aussi vous mettre en contact avec la douleur et la peur en vous. Il est alors important de se faire grand, de se lever et de dire : « Voilà ce que je ressens, voilà ce que je ressens. C’est ce que je ressens, c’est ce que je vis comme étant juste pour moi à mon niveau le plus profond. » Cependant, le fait d’accepter votre propre grandeur active en même temps les parties les plus craintives de votre être, celles qui disent : « Vous ne pouvez pas faire cela. Restez petit. Ne provoquez pas de conflits ou de désaccords, ou vous serez puni ou rejeté ». Tout ce complexe d’émotions négatives s’active également lorsque vous commencez à écouter la voix de votre cœur et de votre âme.

C’est pourquoi il n’est pas toujours facile de choisir son chemin d’âme.

En fait, ce n’est jamais facile, parce que vous vivez non seulement en vous-même, mais aussi dans le monde qui vous entoure, un monde de dualité. C’est le monde de l’ancien – avec toutes ses vieilles peurs, ses règles et ses commandements – et du nouveau qui veut naître : le chant de votre âme, une mélodie unique qui n’est pas comprise par tout le monde et qui n’est pas perçue par tout le monde comme étant harmonieuse.

Réalisez que tous ceux qui ont choisi la voie de l’âme ont dû endurer une certaine solitude ou une épreuve pour croire vraiment en eux et s’aligner sur eux, pour être fidèles à cette voix dans leur cœur. C’est pourquoi j’ai dit précédemment qu’il ne s’agit pas seulement de l’expérience intérieure de la connexion avec votre Source et votre âme, il s’agit aussi de faire sortir cette expérience intérieure au grand jour et de rendre visible votre inspiration unique : votre plus grand moi qui n’est pas déterminé par les influences environnantes. Il s’agit en fait d’être le créateur de quelque chose de nouveau.

Votre plus grand ennemi dans cette démarche, votre plus grande force contraire, c’est la peur.

La peur d’échouer, d’être rejeté, d’être différent. Une peur qui vous harcèle, qui influence vos pensées, qui vous fait vous inquiéter, qui crée en vous une méfiance à l’égard de la vie et qui vous fait vous attendre à ce que les choses tournent mal. Vous ne connaissez que trop bien toute cette litanie de pensées fondées sur la peur – c’est le passé qui parle. Pour surmonter cela, vous devez d’abord le reconnaître et percevoir réellement ce qui se passe en vous lorsque vous êtes sous l’emprise de ce type de pensée : la pensée craintive et trépidante qui est devenue comme une seconde nature pour beaucoup d’entre vous.

Réalisez combien de fois vous êtes saisis par des pensées répétitives dans votre tête. Ressentez la nature de cette inquiétude, de cette pensée anxieuse : l’anticipation de ce qui peut mal tourner, la méfiance. Au lieu d’écouter le contenu de ces voix, sentez-en la vibration, l’énergie, qui est comme un bruit dérangeant, un bourdonnement. Souvent, vous n’êtes pas conscient qu’il y a quelque chose au-delà de ce type de pensée, quelque chose qui est beaucoup plus vrai, beaucoup plus fiable, beaucoup plus ancré dans la vie, et ce que je veux dire ici, c’est ce qu’il y a dans votre cœur. Et avec elle, votre intuition, qui ne pense pas beaucoup, mais ressent davantage ; un sentiment qui n’est pas excitable et émotionnel ; un sentiment pur et sans l’intervention de pensées. » (Message de Marie du 16 octobre 2024, Pamela Kribbe, Accueillir la Conscience Divine)

L’accès à l’âme, la clé, est donc à l’intérieur de vous.

« Vous ne pouvez pas accéder à votre âme avec votre tête, seulement avec vos ressentis. Il est nécessaire que vous laissiez-aller tout et que vous deveniez très calme à l’intérieur, et que vous disiez simplement « oui » à votre âme. Si vous vous donnez la permission, vous trouverez un moyen pour que votre âme se manifeste plus pleinement à travers vous. Ressentez la lumière de La Lumière dans votre cœur. Vous n’êtes jamais seul, vous êtes toujours connecté à la Source. » (Message de Jeshua du 18 mai 2024, Pamela Kribbe, Accueillir la Conscience Divine)

« Je vous demande maintenant de prendre un moment pour vous entraîner à lâcher prise sur la façon dont votre esprit traite certains problèmes et de permettre simplement à votre vie d’être ce qu’elle est naturellement.

L’esprit peut être là comme un bruit de fond, mais déplacez simplement votre conscience, votre attention, jusqu’à votre abdomen et prenez conscience de vos jambes et de la façon dont vos pieds reposent sur la Terre. Sentez à quel point la Terre est grande ! Non seulement physiquement, en termes de surface, mais sentez son esprit, son âme. Sentez ce qui anime la vie de la nature autour de vous.

Votre corps est également porté et animé par la Terre, de votre naissance à votre mort. La sagesse et l’intelligence vivent dans la Terre et dans votre corps, mais elles ne sont pas mentales, elles ne relèvent pas de l’esprit. Permettez simplement à cette énergie d’être là. Prenez conscience que votre corps est un champ de force intelligent. Votre corps veut vous soutenir et vous aider à recevoir et à transmettre l’énergie de votre âme.

Entrez maintenant en contact avec votre cœur. Sentez en vous son énorme silence : le silence de votre cœur qui est tellement plus ancien que cette seule vie. Votre cœur est aussi grand que l’univers lui-même ; il est relié à tout ce qui existe. Pouvez-vous imaginer la taille de votre cœur ? Vous êtes Dieu en vous, vous n’êtes pas en dehors de Lui. Vous participez à Dieu, tout comme la plus petite cellule de votre corps participe à vous. Respectez-vous, respectez votre âme : l’étincelle d’éternité qui est en vous. Cette étincelle est ce que vous êtes, ce qui veut être ici, ici et maintenant sur la Terre. C’est elle qui veut se connecter à votre corps et à la Terre.

Votre âme, cette étincelle, s’est unie à la Terre et veut faire l’expérience de la joie, mais pas de manière impulsive ou frivole. Elle veut rayonner la joie profonde de votre lumière, partager votre amour et vous connecter aux autres, et guérir de vieilles douleurs en vous et chez les autres. Sentez ce besoin dans votre âme. Sentez le désir et la joie que cela vous procure de ne plus avoir à vous cacher, de pouvoir laisser la lumière briller dans vos yeux et de pouvoir faire ce qui vous convient, quoi que ce soit ; car chaque âme est attirée par une occupation ou une activité différente. Mais vous pouvez être sûr que si vous suivez la voix de votre âme, il y a un chemin pour vous, une place sur Terre dans ce monde.

En ce moment, votre lumière est plus que jamais la bienvenue, vous n’avez plus à la cacher.

Ressentez ce silence dans votre cœur, cet espace. Votre cœur a tant vu, tant entendu, tant vécu. Sentez la profondeur de votre cœur et sachez qu’il est plus sage et plus complet que les processus de pensée craintifs qui déterminent souvent votre vie quotidienne. Sentez qu’il existe en vous des forces qui transcendent cette peur et vous relient à une plus grande sagesse qui ne peut être contenue par l’esprit. L’esprit peut toutefois vous aider à transformer les désirs de votre âme en actions dans le monde matériel. À cette fin, l’esprit est capable de vous aider. Mais la source de vos choix est plus profonde que l’esprit, elle se trouve à l’intérieur.

Connectez-vous à nouveau à votre abdomen, à l’énergie de la Terre en vous, et à votre cœur, à votre source cosmique – sentez-les s’unir. Lorsque des personnes se réunissent avec l’intention d’entendre le cri de leur âme, cette seule intention crée une certaine ouverture. L’âme veut devenir de la chair et du sang terrestre, se manifester ici sur Terre, donc un champ d’intention commun peut accomplir beaucoup. Ressentez donc, en cet instant, cette intention commune de ce qui est important pour vous en ce moment dans votre vie. Ne la ressentez pas à partir de votre tête, mais à partir de votre cœur et dans votre abdomen. Posez-vous simplement la question : « Qu’est-ce que je désire ? Qu’est-ce que je veux vraiment faire ? »

Et quelle est la première chose qui vous vient à l’esprit ? Il n’est pas nécessaire que ce soit quelque chose d’extérieur à vous, comme un certain travail, ou une relation, ou un problème à résoudre. Vous pouvez aussi simplement désirer un sentiment de réconciliation et d’harmonie, par exemple de paix, de confiance ou de légèreté. Choisissez un seul mot ou concept qui correspond à ce que vous désirez, et nommez ce désir pour vous-même. Ressentez ce que vous désirez ! Laissez-le vous imprégner, car c’est le langage de l’âme – simple et direct.

À travers votre désir le plus profond, l’âme vous parle. Pas par des commandements : « Faites ceci ou cela ; vous devez le faire de telle ou telle manière ». Cette voix stricte que vous associez parfois à la spiritualité et à la religion n’est pas la voix ou le langage de l’âme. Le langage de l’âme ressemble plutôt à la spontanéité d’un enfant : « J’aimerais pouvoir faire ceci ? Je me demande si c’est possible ? » Souhaiter, s’interroger, imaginer – comme on le faisait enfant et comme on peut encore le faire – se rapproche davantage du langage de l’âme que des règles et des lois de la spiritualité.

Enfin, laissez le visage d’un enfant vous apparaître ; il peut s’agir du vôtre lorsque vous étiez enfant, ou de n’importe quel autre visage. C’est le visage ouvert d’un enfant qui ose imaginer sans limites, qui ose souhaiter avec la confiance que la vie lui apportera ce qu’il désire. Soyez ouvert aux bonnes forces de la vie : la main protectrice et solidaire de Dieu, de la Mère et du Père. Accueillez l’enfant qui est en vous. C’est un lien direct avec votre âme. Sachez que vous n’êtes pas seul ; vous êtes relié au tout. Vous êtes toujours entouré d’énergies de joie, d’inspiration et d’amitié. » (Message de Marie du 16 octobre 2024, Pamela Kribbe, Accueillir la Conscience Divine)

Quand vous trouvez l’accès à l’âme, le plan global ressurgit, tel un objet égaré qui a toujours été là mais que vous retrouvez, ce que vous pouvez appeler résurrection, levée du voile de l’illusion, sortie de la matrice de vos expériences, l’état christique, l’ascension. Le souvenir et les attributs de votre appartenance au Divin seront ressuscités. (Sur la résurrection, Sophie Riehl, Les sept chakras et les sept flammes sacrées, et Adama, Sananda et Lady Nada, Les sept flammes sacrées, Aurélia Louise Jones, Éditions Telos France)

L’Unité est alors retrouvée. Passer de la dualité à l’Unité, de la séparation à l’union, c’est retourner à sa divinité.

A propos des incarnations, selon El Morya, « chaque individualisation est comme un prisme et chaque facette est une des incarnations de ce prisme. Chaque facette sait qu’elle est le cœur du prisme. Au sein de cette réalité, la partie la plus vaste de l’individualisation a en effet le choix de considérer le souhait de faire l’expérience de la divinité de l’Être à travers une autre facette du prisme, s’identifiant donc, donnant l’énergie, à cette facette vivant dans la simultanéité et apparemment dans la linéarité, une naissance, un déroulement. Ou la partie la plus vaste de l’individualisation peut choisir de retourner en son centre et d’honorer être la source de toutes les incarnations, d’être le cœur, et de ramener sa structure physique à ce cœur et à ce corps d’immortalité qui ne connaît plus le déroulement mais qui est le jaillissement perpétuel de la perfection. » (Message d’El Morya du 10 mars 2024, Agnès Bos-Masseron, Accueillir la Conscience Divine)

Le mécanisme des incarnations, survolé ici, est inspiré du livre de Sylvain Didelot, Transincarnation, Plusieurs vies en même temps, aux éditions Atlantes. Le livre détaille les rouages complexes des transincarnations.

Si vous découvrez la notion d’incarnations, que vous pensiez n’expérimenter que votre vie présente, vous pouvez commencer par parcourir l’extrait du roman Les voisins du dessus que j’avais écrit sur le sujet, dans lequel plusieurs ouvrages sont référencés.

Ainsi le temps n’est pas linéaire mais simultané. Vous, Être divin, pouvez accéder à votre âme qui expérimente toutes vos incarnations en même temps, grâce à vos ressentis.

En finalité, à chaque instant, soyez vigilant(e), écoutez et honorez vos ressentis, même non conventionnels.